Oméga-3 : un nutriment essentiel pour le corps et l’esprit

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels indispensables au bon fonctionnement du corps et du cerveau. Ne pouvant pas être produits naturellement par l’organisme, ils doivent être apportés par l’alimentation. On les trouve principalement dans les poissons des mers froides, les graines de lin et de chia, ainsi que dans certaines noix.

Voici les principaux bienfaits des oméga-3 :

  1. Amélioration de la santé cardiovasculaire – Ils aident à réduire les triglycérides et la pression artérielle, diminuant ainsi le risque de maladies cardiaques.
  2. Soutien au cerveau et à la santé mentale – Ils favorisent la mémoire, la concentration et pourraient prévenir certaines maladies neurodégénératives comme Alzheimer.
  3. Réduction de l’inflammation – Ils contribuent à diminuer l’inflammation chronique, liée à des maladies telles que le diabète ou certains cancers.
  4. Santé des yeux et de la peau – Ils aident à prévenir la dégénérescence maculaire et à maintenir une bonne hydratation de la peau.
  5. Renforcement du système immunitaire – Ils soutiennent les défenses naturelles de l’organisme contre les infections.

Pour bénéficier de leurs effets, il est conseillé de consommer régulièrement des poissons riches en oméga-3 (comme le saumon, le maquereau ou les sardines), ainsi que des huiles de graines de lin, de chia ou des noix.

 

Pourquoi de plus en plus de personnes constatent-elles une « résistance » au Botox ?

Ces dernières années, le Botox est devenu l’un des traitements esthétiques les plus populaires, utilisé par des personnes de tous âges pour rafraîchir leur apparence. Cependant, certains individus remarquent que ses effets ne sont plus aussi marqués qu’auparavant – un phénomène connu sous le nom de « résistance au Botox ».

Qu’est-ce que la résistance au Botox ?
Ce phénomène survient lorsque le corps développe des anticorps contre la toxine botulique, réduisant ainsi l’efficacité des injections. En conséquence, les muscles ne se paralysent plus comme prévu et les rides persistent ou réapparaissent plus rapidement.

Les causes possibles de cette résistance
La cause exacte reste incertaine. Toutefois, certaines études suggèrent une éventuelle corrélation entre la vaccination contre la COVID-19 et une altération de l’effet du Botox, bien qu’aucune preuve scientifique solide ne permette, à ce jour, de confirmer ce lien.

Un phénomène fréquent ?
Les cas de résistance sont relativement rares. Dans la plupart des situations, une augmentation de la dose ou le recours à une toxine botulique alternative peut s’avérer efficace. Il est donc essentiel de consulter un dermatologue spécialisé afin d’identifier la solution la mieux adaptée à chaque cas.

Un médecin originaire du Kosovo nommé chef de clinique en Thuringe, Allemagne

Ali Hajdari est le nom du médecin albanais qui, depuis avril de cette année, a été nommé chef de la Clinique de cardiologie et d’angiologie de l’hôpital “Krankenhaus Waltershausen-Friedrichroda”, dans le Land de Thuringe, écrit albinfo.ch.

Cette histoire de réussite a été présentée par l’ambassadeur du Kosovo en Allemagne, Faruk Ajeti.

Il convient de souligner que M. Hajdari est le premier Albanais à diriger une clinique de ce type dans ce Land.

Après avoir terminé ses études à l’Université de Pristina, il a suivi un parcours professionnel remarquable, acquérant son expertise et son expérience dans plusieurs cliniques universitaires de renom en Allemagne, telles que celles de Mannheim, Iéna, St. Georg Klinikum Eisenach et Elisabeth-Klinikum Schmalkalden.

Le Dr Hajdari est spécialiste en médecine interne et possède une spécialisation complémentaire en cardiologie, achevée au Centre clinique universitaire d’Iéna, ainsi qu’une surspécialisation en angiologie (maladies des vaisseaux sanguins).

Son champ d’activité professionnel est vaste, axé sur les interventions cardiaques, l’implantation de dispositifs cardiaques spécialisés, ainsi que le traitement des maladies des artères périphériques par des procédures endovasculaires.

Le médecin albanais continue à œuvrer pour renforcer la coopération entre les institutions de santé en Allemagne et au Kosovo.

Genève : Le livre “Shekulli i parë” présenté lors d’une soirée de mémoire historique

Le livre Shekulli i Parë tente de documenter l’indescriptible en offrant un aperçu poignant des événements marquants de l’histoire albanaise. Il retranscrit les émotions et les sentiments qui ont animé les rues de Vlora et les collines où des milliers de cœurs battaient à l’unisson – par amour pour la patrie. Des moments forts comme la parade de Mitrovica et la performance unique à Struga, mettant en scène des figures emblématiques telles que Skanderbeg, Ismail Qemali et Adem Jashari, ont illustré la créativité et l’esprit patriotique qui caractérisent les Albanais.

L’auteur, Sejmen Gjokoli, a partagé ses émotions lors de l’événement, soulignant l’importance de cette œuvre qui promeut l’unité et la solidarité nationales. “Participer à une activité au-delà des frontières de la patrie, où l’albanité et l’esprit national sont si présents, est un privilège particulier”, a-t-il déclaré.

Gjokoli a exprimé sa gratitude envers les organisateurs et la communauté albanaise de Genève pour leur engagement et leur collaboration. Ce livre est bien plus qu’une publication littéraire : il reflète la puissance de l’unité et de l’organisation. L’exemple de la Communauté Albanaise de Genève, en collaboration avec les étudiants, prouve que notre histoire n’est pas un simple souvenir, mais un trésor à transmettre avec fierté de génération en génération. De tels événements nous rappellent non seulement qui nous étions, mais aussi qui nous voulons être. Ils nous montrent que sans racines, il n’y a pas de direction. Ce jour à Vlora reste une racine forte dans notre conscience collective – un souvenir partagé, une preuve que, oui, les Albanais savent s’organiser, s’unir et surtout, aimer et honorer l’Albanie comme elle le mérite.

L’auteur, Sejmen Gjokoli, a partagé ses émotions lors de l’événement, soulignant l’importance de cette œuvre qui promeut l’unité et la solidarité nationales. “Participer à une activité au-delà des frontières de la patrie, où l’albanité et l’esprit national sont si présents, est un privilège particulier”, a-t-il déclaré.

Gjokoli a exprimé sa gratitude envers les organisateurs et la communauté albanaise de Genève pour leur engagement et leur collaboration. Ce livre est bien plus qu’une publication littéraire : il reflète la puissance de l’unité et de l’organisation. L’exemple de la Communauté Albanaise de Genève, en collaboration avec les étudiants, prouve que notre histoire n’est pas un simple souvenir, mais un trésor à transmettre avec fierté de génération en génération. De tels événements nous rappellent non seulement qui nous étions, mais aussi qui nous voulons être. Ils nous montrent que sans racines, il n’y a pas de direction. Ce jour à Vlora reste une racine forte dans notre conscience collective – un souvenir partagé, une preuve que, oui, les Albanais savent s’organiser, s’unir et surtout, aimer et honorer l’Albanie comme elle le mérite.

Mme Floreta Kabashi, Consule de la République du Kosovo à Genève, a souligné l’importance de cette publication pour la mémoire et le patrimoine national, remerciant tous ceux qui contribuent à préserver l’identité albanaise dans la diaspora. “Cette œuvre est une précieuse contribution à notre mémoire collective,” a-t-elle déclaré, en exprimant sa reconnaissance à l’Association des étudiants albanais et aux groupes artistiques pour leur engagement à maintenir vivantes les valeurs culturelles albanaises.

Afërdita Krasniqi, représentante du groupe “Hareja”, a rendu hommage au professeur Astrit Leka et a insisté sur l’importance de la coopération intergénérationnelle pour préserver la culture albanaise. “En tant qu’association, nous avons organisé de nombreuses activités, mais cette collaboration avec les étudiants albanais de Genève est spéciale,” a-t-elle affirmé, ajoutant que cet événement a renforcé un lien émotionnel profond avec les racines albanaises.

Vanesa Likaj, présidente de l’Association des étudiants albanais de Genève, a partagé son émotion en tant qu’étudiante ayant grandi en diaspora. Elle a souligné l’importance de préserver la langue, la culture et l’histoire albanaises, surtout dans un environnement où l’identité est mise à l’épreuve au quotidien. “Ce livre est le témoignage de nos efforts pour ne pas oublier qui nous sommes et d’où nous venons,” a-t-elle conclu.

Cette soirée fut mémorable, rappelant l’importance de préserver et promouvoir le patrimoine culturel albanais, tout en témoignant de la force de l’unité et de l’engagement de la communauté albanaise de Genève pour maintenir vivant l’esprit national, où qu’ils se trouvent.

 

 

Pourquoi Armend a abandonné un salaire de 21 000 francs pour tomber à 1 540 CHF par mois

Le cas d’Armend Mustafa, jeune entrepreneur de 29 ans, fait sensation depuis un mois dans les médias alémaniques suisses. Il y a quelques semaines, un journal évoquait son idée de briser le tabou persistant en Suisse autour de la transparence salariale. Cette initiative a suscité un vif débat, dans les médias et au-delà. Une part importante de la population suisse adhère à sa démarche et réclame davantage de transparence, tandis qu’une autre, plus conservatrice (et souvent plus âgée), reste attachée à la discrétion sur ce sujet, écrit albinfo.ch.

Aujourd’hui, un autre journal suisse, 20 Minuten, dresse le portrait d’Armend, en se concentrant sur les changements qu’a connus sa vie après avoir quitté un emploi sûr et très bien rémunéré pour fonder sa propre entreprise, qui lui rapportait au départ à peine un dixième de son ancien salaire. Cet article explore les raisons de ce changement radical et le message qu’Armend Mustafa souhaite transmettre à travers son choix.

Des semaines de travail de 90 heures, des nuits entières passées au bureau, et comme seul moment de repos : les matinées du dimanche. C’est ainsi qu’Armend décrit son ancienne carrière. Aujourd’hui, en tant que CEO, il milite pour une plus grande transparence salariale et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

Malgré la chute brutale de ses revenus, Armend Mustafa a pris la décision de quitter son emploi bien payé pour se lancer dans sa propre entreprise. À 25 ans, il gagnait près d’un quart de million de francs par an. Mais ce succès financier avait un coût personnel très élevé. Aujourd’hui, en tant qu’agent de recrutement indépendant, il souhaite sensibiliser d’autres travailleurs à cette problématique.

Mustafa a dirigé une agence de recrutement et mené en parallèle une activité de coach indépendant. Si ses efforts portaient leurs fruits sur le plan financier, sa vie privée en souffrait énormément : il travaillait entre 90 et 120 heures par semaine, passait souvent ses nuits au bureau et ne prenait que deux semaines de congés par an.

« J’ai littéralement raté les premières années de mes enfants et pris plus de 20 kilos », se souvient-il.

« Pendant longtemps, je me disais que c’était le prix à payer pour réussir – financièrement, cela en valait la peine », confie-t-il. Il gagnait presque 250 000 francs par an. « Mais avec le temps, j’ai compris : l’argent seul ne rend pas heureux. Il faut aussi du temps, de la santé et un environnement personnel solide. »

À l’automne 2021, à 29 ans, il démissionne après presque trois ans dans l’entreprise. Il met fin à son activité de coaching et fonde immédiatement sa propre agence de recrutement. Son revenu net chute alors en une nuit, passant de plus de 20 000 francs à seulement 1 540 francs par mois. « Et je ne me suis jamais senti aussi bien », affirme-t-il en regardant en arrière.

Sa position de soutien principal de sa famille et ses économies l’ont aidé à traverser les premiers mois. Il n’a jamais adopté un train de vie extravagant malgré son ancien salaire. « Je n’ai jamais vécu comme ceux qui gagnent 20 000 francs par mois », dit-il. Ce changement a aussi modifié sa manière de prendre des vacances : « Aujourd’hui, je voyage différemment et plus souvent, et je décroche vraiment. Avant, je travaillais deux ou trois heures par jour même en vacances. »

Depuis, l’activité de son entreprise s’est améliorée. « Les six premiers mois ont été difficiles, on pensait même devoir faire des coupes », avoue-t-il. Mais avoir déjà une maison et une voiture l’a aidé à éviter de revoir son niveau de vie à la baisse. « J’ai eu de la chance d’avoir mis de l’argent de côté au moment où j’ai compris que je voulais changer de cap », dit Mustafa.

L’entreprise qu’il a fondée, Meron AG, accorde une grande importance à l’équilibre vie privée-vie professionnelle, en offrant six semaines de vacances, des horaires flexibles et la possibilité de télétravail. « Il ne s’agit pas de ne rien faire, mais de trouver un équilibre sain. À long terme, il est contre-productif de tout sacrifier pour le travail », explique-t-il.

Aujourd’hui, son salaire tourne autour de 6 600 francs par mois – « et j’en suis parfaitement satisfait », déclare-t-il. Les comparaisons de salaires et ses prises de parole en faveur de plus de transparence et d’un meilleur équilibre de vie ont suscité de nombreuses réactions positives.

« C’est un signe fort – et cela va clairement dans la bonne direction », conclut-il.

La ville la plus riche de la planète 

Selon le rapport 2025 des villes les plus riches du monde, New York a conservé son titre de ville la plus riche de la planète.

Le rapport, publié par Henley & Partners en collaboration avec New World Wealth, indique que la ville américaine connue sous le nom de “Big Apple” reste un aimant pour la richesse mondiale, avec 384 500 millionnaires, 818 centi-millionnaires et 66 milliardaires.

Le classement se base sur le nombre de personnes fortunées, de centi-millionnaires et de milliardaires résidant dans chaque ville.

Juste derrière New York, on retrouve la « Bay Area », qui englobe la ville de San Francisco et la région de la Silicon Valley, classée deuxième avec 342 400 millionnaires. Cette région abrite désormais 82 milliardaires, dépassant ainsi New York dans cette catégorie. La population millionnaire de la Bay Area a augmenté de 98 % au cours de la dernière décennie, reflétant son rôle de centre mondial pour la création de richesse dans le secteur technologique, écrit l’agence Anadolu.

Portée par une forte reprise de l’indice Nikkei 225 au cours des deux dernières années, Tokyo se classe en troisième position avec 292 300 millionnaires, tandis que Singapour est quatrième avec 242 400 millionnaires, rapporte albinfo.ch.

Dubaï grimpe à la 18e place avec 81 200 millionnaires, marquant une croissance de 102 % sur la dernière décennie. Shenzhen, classée 28e, enregistre la plus forte croissance mondiale, avec une augmentation de 142 % de sa population millionnaire.

Londres et Moscou sont les deux seules villes parmi les 50 premières à avoir enregistré une baisse de leur population millionnaire au cours des dix dernières années, avec respectivement une diminution de 12 % et 25 %.

Los Angeles, avec 220 600 millionnaires, dont 516 centi-millionnaires et 45 milliardaires, dépasse Londres pour occuper la cinquième place. La capitale britannique recule à la sixième place avec 215 700 millionnaires, 352 centi-millionnaires et 33 milliardaires.

Moscou, désormais classée 40e, a connu une baisse de 25 % de sa population millionnaire.

Shenzhen, Hangzhou et Dubaï sont en tête des centres de richesse affichant la croissance la plus rapide à l’échelle mondiale. Bengaluru, New Delhi et Varsovie figurent également parmi les villes qui devraient connaître une croissance significative du nombre de millionnaires, grâce à l’expansion des écosystèmes technologiques et à des initiatives économiques stratégiques.

McDonald’s vise les 200 restaurants en Suisse

McDonald’s prévoit d’accélérer son programme d’expansion en Suisse. Un budget de 250 millions de francs a été alloué dès 2024 pour l’ouverture de nouveaux restaurants, la modernisation de ceux existants et la mise en œuvre de diverses innovations d’ici 2026.

Après avoir ouvert cinq nouveaux établissements l’année dernière, McDonald’s Suisse prévoit d’en ouvrir et rénover davantage au cours de l’année 2025. À moyen terme, l’objectif est d’atteindre 200 points de vente, écrit albinfo.ch.

Le service à table, la livraison à domicile via McDelivery ainsi que les commandes à emporter via McDrive seront déployés dans la quasi-totalité des établissements.

Des applications de commande très populaires

« La modernisation des services numériques, comme l’application de commande en ligne, est également très demandée », déclare la CEO Lara Skripitsky, citée dans le communiqué. « L’application est utilisée pour une commande sur quatre. »

En 2024, le volume des achats a atteint 235 million selon l’entreprise, qui ne communique pas son chiffre d’affaires. Plus, de 85 % des ingrédients proviennent de partenaires suisses tels que Bell, Fortisa ou Emmi. L’entreprise collabore également avec quelque 6 400 exploitations agricoles locales.

McDonald’s Suisse forme actuellement une quarantaine d’apprentis dans le but de lutter contre la pénurie de personnel qualifié dans ce secteur. Environ 92 % des apprentis poursuivent leur carrière au sein de l’entreprise.

Le géant américain est présent en Suisse depuis 1976.

Francfort : Une soprano albanaise fera ses débuts dans le rôle de Norma

Être une artiste de renommée internationale n’est pas chose facile, surtout dans un marché hautement concurrentiel. Il faut une énergie remarquable, de l’optimisme et une grande confiance en soi pour arriver au sommet. Et ce sont précisément quelques-unes des qualités principales de Marigona Qerkezi, une soprano kosovare au succès mondial, écrit albinfo.ch.

Dotée d’un riche parcours artistique, elle a foulé les scènes les plus prestigieuses à travers le monde et continue d’incarner de grands rôles dans de nombreux événements culturels.

L’Opéra de Francfort sera sa prochaine maison lyrique, où elle interprétera le rôle de Norma les 20 et 27 avril, ainsi que les 3, 9, 15, 17, 23 et 31 mai.

Spielplan – Oper Frankfurt

Blerta Berisha: Un parcours de réussite et d’engagement envers la communauté albanaise

Née au Kosovo et installée en Suisse, Blerta Berisha a construit une brillante carrière en alliant sa passion pour la finance, l’éducation et le leadership. Au-delà de ses réalisations professionnelles, Blerta incarne l’engagement au service de la communauté albanaise de la diaspora, en soutenant et en encadrant les jeunes dans leur chemin vers la réussite.

Le parcours académique de Blerta inclut certaines des institutions internationales les plus prestigieuses. Elle a terminé ses études de bachelor au Kosovo, obtenu un MSc en Italie et un EMBA à Genève et à Washington D.C. Elle a également participé à des écoles d’été et à des échanges académiques à Oxford, Washington D.C., Zurich, Milan et Glasgow. Actuellement, elle poursuit un doctorat en management et ingénierie, témoignant de son engagement constant envers le savoir et le développement professionnel.

Une histoire d’inspiration et de réussite

Comme beaucoup d’émigrés, Blerta a dû affronter de nombreux défis en s’intégrant dans un nouveau pays. Passer d’un système éducatif à un autre demandait une grande adaptabilité et de la préparation. Elle a également surmonté des obstacles financiers et professionnels, grâce aux bourses obtenues et à la création de solides réseaux professionnels. Selon elle, chaque difficulté lui a permis d’apprendre quelque chose de nouveau et de transformer les épreuves en opportunités.

« Aucun rêve n’est trop grand, aucun obstacle n’est insurmontable, et aucune limite ne peut arrêter quelqu’un qui croit en lui-même. Ayez le courage de suivre vos passions, de sortir de votre zone de confort et de créer des opportunités là où d’autres voient des barrières », confie-t-elle à écrit albinfo.ch, en racontant son parcours.

Réussite professionnelle et expérience internationale

Actuellement, Blerta enseigne à la Riphah School of Business and Management, où elle donne des cours de management aux étudiants de niveau bachelor. Son expérience professionnelle est toutefois vaste et diversifiée. Elle a occupé plusieurs postes à responsabilités dans le domaine de la finance et de la gestion, notamment : directrice technique des finances chez BCM à Genève, PMO chez Julius Baer Bank à Zurich, analyste de données RFP chez Credit Suisse Asset Management, gestionnaire de projets internationaux chez Merck Group en Allemagne, ainsi que coach senior et analyste business chez X-Culture à Washington D.C.

Cette richesse d’expériences dans différents secteurs lui a permis de développer une vision globale de la finance, du management et du développement stratégique.

Un engagement actif pour la communauté albanaise

Outre sa carrière, Blerta est une figure influente dans la communauté albanaise en Suisse. Elle a apporté une contribution précieuse au mentorat et au soutien des jeunes à travers plusieurs initiatives, comme Illyrian Brains – une plateforme de mentorat et d’éducation, Albanian Engineering of Switzerland (AES) – un réseau pour les professionnels albanais en Suisse, l’Institut pour l’Avancement National – qui œuvre dans le domaine des politiques publiques et du développement économique, ainsi que Germin – une organisation de mobilisation de la diaspora albanaise.

Elle a également animé l’émission Leadership & Innovation Show, où elle invitait des Albanais de renom du monde entier pour discuter de leadership, finance et innovation. Grâce à l’organisation de webinaires gratuits sur la gestion et les finances, elle partage son savoir avec les jeunes et les aide à développer leurs compétences professionnelles.

Un message fort pour les jeunes

Blerta est convaincue que la réussite n’est jamais individuelle. Pour elle, la famille a toujours été un pilier fondamental, en particulier sa mère, Bukurije Berisha, qu’elle appelle affectueusement « Maki », et qui l’a guidée avec amour et vision.

« Derrière chaque réussite, il y a un réseau de personnes qui nous soutiennent et nous inspirent. Pour moi, ce réseau a été ma famille, et surtout ma Maki, qui m’a guidée avec amour, force et clairvoyance. C’est pourquoi j’encourage aujourd’hui chacun à non seulement viser le sommet pour soi-même, mais aussi à devenir lumière et soutien pour quelqu’un d’autre. Car en nous soutenant et en nous inspirant mutuellement, nous construisons non seulement des réussites individuelles, mais nous créons aussi un impact réel et durable pour les générations futures », souligne-t-elle dans son message adressé aux jeunes.

Blerta aspire à être un modèle d’inspiration pour les autres et à encourager les Albanais du monde entier à poursuivre leurs rêves avec détermination et passion.

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Prison à vie pour l’assassinat du boxeur Besar Nimani

Hüseyin A., 34 ans, a été condamné à la prison à vie pour le meurtre de l’ancien boxeur professionnel Besar Nimani,rapporte albinfo.ch.

Lui et un complice toujours en fuite ont abattu Nimani de manière préméditée le 9 mars 2024 à Bielefeld, selon la décision rendue hier par le tribunal régional de Bielefeld.

D’après le jugement, les deux auteurs avaient planifié ensemble l’attaque et ont tiré sur la victime avec l’intention de la tuer.

Il est important de noter que le meurtre a été commis avec 16 balles tirées par Hüseyin A. et son complice.

Le boxeur est décédé sur place. Le second auteur est toujours activement recherché.

Ardon Jashari marque un superbe but

Ardon Jashari est l’un des footballeurs les plus en forme de la saison dans le championnat belge.

Le milieu de terrain de l’équipe nationale suisse a inscrit un magnifique but lors du derby belge entre le Royal Antwerp et le Club Brugge, rapporte albinfo.ch.

Le Club Brugge s’est imposé à l’extérieur dimanche avec un score de 3-2 face à l’Antwerp.

Jashari a commenté son but ainsi que la performance globale de l’équipe.

« C’était une première mi-temps facile pour nous. Mais la deuxième partie du match est devenue plus compliquée. Nous avons très bien joué en première mi-temps, marqué trois buts et montré nos qualités avec et sans ballon. C’était un très beau but. Chaque équipe est solide, donc les matchs des play-offs sont toujours difficiles », a déclaré Jashari, cité lundi par Voetbal.

L’ancien joueur de Lucerne a, jusqu’à présent, disputé 42 matchs cette saison, marquant quatre buts et délivrant six passes décisives.

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Xhaka traverse une période difficile à Leverkusen

Granit Xhaka vit actuellement une période compliquée au sein du Bayer Leverkusen, rapporte albinfo.ch. Pour la deuxième fois en une semaine, le milieu de terrain suisse n’a pas répondu aux attentes, malgré la victoire 1-0 face à Heidenheim. Plusieurs raisons physiques et tactiques expliquent cette baisse de régime. Le retour de Xhaka à son meilleur niveau est essentiel pour les ambitions du club allemand.

Selon le média Kicker, tout a commencé à la 11e minute, lorsque Xhaka a perdu un ballon en voulant relancer depuis le milieu de terrain, créant la première occasion pour Heidenheim. S’en sont suivies d’autres erreurs inhabituelles pour le stratège de Xabi Alonso : passes ratées, contrôles approximatifs. Lui qui symbolisait la régularité et la précision la saison dernière, s’est montré hésitant, incapable d’imposer le rythme au milieu de terrain.

Cette prestation décevante est la deuxième consécutive. Lors de la défaite en Coupe face à Bielefeld (2-1), Xhaka et ses coéquipiers avaient déjà affiché un niveau très en-dessous de leurs standards. Et bien que le Suisse ait réalisé quelques bonnes passes en début de match contre Heidenheim et participé à l’action du but, sa prestation globale est restée inférieure aux attentes. Lui-même l’a reconnu avec franchise.

« Ce match et celui contre Bielefeld ne sont pas à la hauteur de ce que j’attends de moi-même », a déclaré le joueur de 32 ans. « Avant cela, j’étais très satisfait de mes performances », a-t-il ajouté, faisant référence aux matchs contre Francfort (4-1) et Stuttgart (4-3).

Xhaka relativise néanmoins : « Il est normal d’avoir de mauvais matchs de temps en temps. Je suis un être humain après tout. »

Toute la saison dernière, Xhaka avait pourtant donné l’impression d’être une véritable machine à passes, quasi infaillible. Mais à présent, ses erreurs se remarquent davantage, notamment face au Bayern et à Brême où ses passes imprécises ont sauté aux yeux.

Ce n’est pas la première fois cette saison que Xhaka traverse une baisse de forme. En début de saison, à son retour de l’Euro et après une blessure musculaire, il n’avait pas encore retrouvé toute sa fraîcheur. De plus, le Bayer manquait alors de stabilité tactique, avec de larges espaces entre les lignes.

Le style de jeu actuel de Leverkusen ne semble pas totalement convenir à Xhaka. « Après la trêve, nous avons changé notre manière de jouer. Au lieu de longs ballons, nous avons commencé à combiner davantage », explique-t-il.

Malgré tout, l’entraîneur Xabi Alonso continue de faire confiance à son maître à jouer, tout comme la saison passée. Mais la fatigue accumulée commence à peser, et cela se voit davantage dans une équipe qui ne tourne pas aussi parfaitement qu’auparavant. Un peu plus de rotation dans l’effectif pourrait lui faire du bien, comme cela aurait pu être le cas par le passé.

Cependant, Xhaka n’est pas du genre à demander du repos. Il connaît son rôle et sa responsabilité dans l’équipe. « Je suis le premier à me critiquer », dit-il. « Mais il est important pour moi d’être présent et d’aider l’équipe différemment lorsque les choses ne vont pas comme prévu. »

Si le Bayer veut garder ses espoirs de titre vivants, il faudra que Xhaka retrouve rapidement son niveau optimal — avec l’aide nécessaire de son entraîneur. Car gagner six matchs sans Xhaka à 100% paraît improbable.

Une revue prestigieuse met en lumière l’Observatoire de Prishtina

Le magazine le plus prestigieux au monde dans le domaine de l’astronomie, Sky & Telescope, a dédié cinq pages entières à l’histoire du tout premier Observatoire et Planétarium du Kosovo, rapporte albinfo.ch.

Un projet né de rien d’autre que de l’espoir, de la persévérance et d’un refus obstiné d’abandonner, même lorsque tout semblait impossible.

L’astronome albanaise Pranvera Hyseni, fondatrice de cet Observatoire et Planétarium, écrit :

« Il nous a fallu des années. Beaucoup de douleur, de doutes, de sacrifices… et des personnes qui ont cru en quelque chose qui n’avait encore aucune forme. Mais nous y voilà aujourd’hui, dans les pages de la presse. Dans un magazine que je lisais étant enfant. Aux portes du monde. Pour un pays comme le Kosovo, qui a traversé tant d’épreuves, voir l’une de nos plus grandes réalisations scientifiques honorée de cette manière… c’est bouleversant. Cela a une signification difficile à exprimer avec des mots. Un immense respect et une profonde gratitude à Diana Hannikainen et à l’équipe de Sky & Telescope, pour leur soutien, leur engagement et la reconnaissance qu’ils ont donnée à ce chapitre historique de notre pays. »

Shaqiri brille avec une excellente performance et marque pour Bâle

Xherdan Shaqiri a célébré avec passion le premier but du FC Bâle lors de la victoire 2-0 contre Lugano dimanche, rapporte albinfo.ch.

Sans aucun doute, Shaqiri est le joueur préféré des supporters bâlois et il mène son équipe vers le titre de champion de Suisse.

Il s’est relevé rapidement et a poursuivi sa célébration.

« C’est toujours un moment spécial de marquer devant nos supporters. La célébration était elle aussi particulière. Clairement, je n’avais jamais fait cela auparavant. Je suis heureux de ne pas avoir subi de blessure grave », a déclaré Shaqiri, qui a toutefois souffert d’une petite blessure au doigt causée par une mauvaise chute.

Video – https://m.facebook.com/watch/?v=1135766385015260&vanity=fcbasel1893

L’école albanaise de Grabs dans le canton de Saint-Gall ouvre ses portes

Les écoles albanaises à travers la Suisse rayonnent à nouveau grâce à la douceur et à l’amour naimien de notre langue, offerts aux enfants et aux jeunes Albanais. Il s’agit d’un nouvel engagement, d’une nouvelle lueur dans le sillage de nombreuses initiatives qui, depuis plus de trois décennies, diffusent la “lumière du savoir” en langue albanaise. Ce nouveau point d’enseignement dans le canton de Saint-Gall s’ajoute à la liste des écoles albanaises existantes, en offrant aux enfants l’opportunité précieuse d’apprendre et de préserver leur langue maternelle.

Ces dernières années, un travail admirable a été réalisé pour ouvrir des points d’enseignement dans presque tous les cantons suisses. Notre engagement, en étroite collaboration avec les parents albanais, porte ses fruits et constitue un exemple remarquable de promotion de l’éducation en langue albanaise. Il y a deux mois, j’ai commencé les démarches pour organiser une classe à Grabs, dans le canton de Saint-Gall, entamant les procédures administratives avec la direction de l’école et en contactant l’enseignante Albulena Hasani. Après un remplacement de trois mois dans la région de Sarganserland, elle a su tracer son propre chemin, nous motivant à l’intégrer dans le Conseil des Enseignants de la Ligue des Enseignants et Parents Albanais “Naim Frashëri” en Suisse.

Progressivement, tous ces efforts ont commencé à porter leurs fruits. La communication avec les parents, l’autorisation officielle de la direction scolaire et l’inscription des élèves furent les étapes initiales – essentielles mais chronophages, comme dans tout nouveau point scolaire. Ces démarches représentent une charge administrative importante, aussi bien pour nous, bénévoles engagés, que pour les directions d’écoles suisses, d’autant plus que ces classes s’ouvrent au fil de l’année scolaire sans planification préalable.

La première journée de cours fut spéciale – car il n’y a rien de plus émouvant que d’entendre ces enfants prononcer les mots de la langue de leurs parents, la langue de leurs ancêtres. Il n’y a rien de plus beau que de les voir, un livre albanais en main, prêts à s’engager sur le chemin de l’apprentissage de leur langue maternelle. Toutefois, cette tâche n’est pas sans défis : les élèves sont d’âges variés, certains à peine initiés aux lettres albanaises, d’autres peinant encore avec les digrammes. Heureusement, quelques-uns parlent et écrivent déjà bien grâce au soutien familial. C’est un combat quotidien dans chaque point scolaire. Désormais, l’enseignante Albulena s’est jointe à cette mission, ici en diaspora, pour aider les enfants à bien maîtriser l’albanais.

Nous sommes des dizaines d’enseignants à travers la Suisse, œuvrant chaque semaine pour cet objectif commun : préserver la langue albanaise chez les jeunes générations. Chaque début est difficile, mais la persévérance des enseignants et des élèves finit toujours par porter ses fruits, comme en témoignent les centaines d’élèves qui suivent régulièrement les cours en albanais.

À cette mission pleine d’espoir se joignent aussi les élèves de l’école de Grabs : Ana, Sara, Amira, Ajla Mendohija, Albini, Shkodrani, Gresa, Genti, Ariana, Ajani, Zejdi, et bien d’autres encore, qui viennent puiser le nectar de notre langue.

Nous espérons que leur sourire, observé en ce début de printemps lors des cours d’albanais, ne s’efface jamais – qu’il reste à jamais un sourire printanier sur leur chemin d’apprentissage.

 

Suisse: L’immobilier, un canal « populaire » pour le blanchiment d’argent

Le secteur de l’immobilier en Suisse est l’un des canaux les plus prisés par les criminels cherchant à blanchir de l’argent illégalement, selon l’avocat et expert en blanchiment d’argent, Fabian Teichmann.

« Si j’étais un criminel, j’investirais dans l’immobilier en Suisse », a-t-il déclaré.

Cela s’explique par le fait que le marché immobilier suisse est « reconnu au niveau international comme sûr, stable et attractif pour les investissements à long terme », rapporte albinfo.ch.

Il est pratiquement impossible d’estimer avec précision le montant des fonds investis chaque année dans l’immobilier suisse à des fins de blanchiment.

Les estimations sont rares et les chiffres fiables font défaut.

« Le problème vient du nombre élevé de cas non signalés », explique Teichmann, cité par The Local. « Logiquement, ceux qui réussissent à blanchir de l’argent ne se font pas attraper. Mais une chose est claire : le blanchiment d’argent représente une part considérable du marché immobilier. »

Et d’ajouter : « Si l’offre reste constante, les prix d’achat augmenteront inévitablement — et à terme, les loyers aussi. »

Un nouvel accord salarial pour 2,5 millions de salariés du secteur public en Allemagne

À l’issue de négociations tendues à Potsdam, un nouvel accord salarial a été signé pour 2,5 million de travailleurs du secteur public en Allemagne, rapporte albinfo.ch, sur la base des recommandations d’un comité d’arbitrage.

L’accord prévoit une augmentation globale des salaires de 5,8 % sur une période de 27 mois, répartie en deux principales hausses. Dès le 1er avril, les salaires augmenteront de 3 %, avec un minimum de 110 euros supplémentaires par mois. Une seconde hausse de 2,8 % est prévue pour mai 2026.

Des améliorations sont également prévues pour les primes de travail en équipes, tandis que le treizième mois sera revalorisé à partir de 2026. Les salariés pourront aussi choisir de convertir cette prime en jusqu’à trois jours de congé supplémentaires. À compter de 2027, une journée de congé supplémentaire sera accordée de manière standard.

La ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser, a souligné que le gouvernement avait “atteint les limites du possible”, en tenant compte des contraintes budgétaires. De son côté, le président du syndicat Verdi, Frank Werner, a qualifié cet accord de “résultat difficile dans des temps difficiles”.

Cet accord met fin aux grèves qui ont perturbé les services publics ces dernières semaines – notamment les transports, les hôpitaux, la collecte des déchets et d’autres secteurs – jusqu’en mars 2027. Toutefois, aucun accord n’a encore été trouvé entre Verdi et la compagnie de transport berlinoise BVG, écrit The Local rapporte  albinfo.ch.

Le restaurant “Stable”, un coin de Suisse au cœur de la capitale américaine, confronté à des turbulences économiques

Le restaurant “Stable”, véritable ambassade de la gastronomie suisse à Washington, traverse actuellement une période de fortes turbulences économiques, rapportent RTS et albinfo.ch. Les nouvelles taxes douanières imposées par l’administration Trump, combinées à l’instabilité du marché du travail influencée par les mesures du Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE) dirigé par Elon Musk, ont fragilisé l’établissement.

Silvan Krämer, directeur du restaurant et figure reconnue de la cuisine suisse aux États-Unis, tire la sonnette d’alarme. « Certains fournisseurs ont déjà annoncé une hausse des prix de 15 à 20 %. La vraie question est : combien de temps pourrons-nous encore tenir ? », a-t-il déclaré à RTS.

La moitié des ingrédients utilisés dans la cuisine du “Stable” proviennent directement de Suisse, ce qui rend le restaurant particulièrement vulnérable aux fluctuations douanières. À cela s’ajoute une baisse du pouvoir d’achat à Washington, qui affecte l’ensemble du secteur de la restauration.

« Beaucoup de personnes travaillant pour le gouvernement ont été licenciées, d’autres craignent de perdre leur emploi. Les gens sont plus prudents, dépensent moins et sortent moins manger », souligne Krämer. Selon lui, les trois premiers mois de l’année ont enregistré une baisse notable de la fréquentation dans l’ensemble des restaurants de la capitale, par rapport à l’année précédente.

Face à cette situation incertaine, Silvan Krämer appelle le Conseil fédéral suisse à intervenir, en entamant de nouvelles négociations tarifaires afin de garantir la viabilité des entreprises helvétiques présentes sur des marchés aussi sensibles que celui des États-Unis.

Mimoza Ahmeti enchante Genève lors d’une soirée poétique

Lors d’une soirée chargée d’émotions, la célèbre poétesse albanaise Mimoza Ahmeti a été chaleureusement accueillie à Genève dans un événement qui n’était pas simplement une conférence, mais une véritable expérience spirituelle. Organisée par l’association “Tradita Genève”, cette rencontre a pris une forme particulière, dépassant toutes les attentes : il n’y avait pas de livres à vendre, mais une valise métaphorique remplie de vie, de souvenirs et de vérités audacieuses, écrit albinfo.ch.

Animée avec finesse par Kudret Isaj et Mimoza Nazarko, la soirée a offert un espace ouvert à la réflexion et au dialogue sincère. Ahmeti a partagé avec le public des fragments de sa vie, des pensées philosophiques et des réflexions sensibles sur l’amour, la femme et l’art – comme manière profonde et passionnée d’exister.

L’atmosphère s’est encore enrichie grâce aux sons du violon d’Edmond Basha et à l’interprétation vocale de Mimoza Nazarko, donnant une dimension émotionnelle supplémentaire à la parole de la poétesse, transformant ainsi la soirée en une véritable immersion artistique.

À la fin de la rencontre, Mimoza Ahmeti a déclaré : « Ma vie est un voyage où la parole a toujours été ma compagne la plus fidèle. Je n’ai pas écrit pour être comprise, mais pour ne pas me perdre. L’art est un acte d’amour risqué – et j’ai choisi de prendre ce risque, pour vivre et non simplement exister. »

Le président de l’association “Tradita Genève”, M. Kadri Çenko, a clôturé la soirée avec un message profond :
« La voix de Mimoza Ahmeti est un réveil pour la conscience, un appel à vivre avec profondeur et dignité. Notre culture a besoin de récits qui dérangent – et c’est exactement ce qu’elle nous a offert ce soir », a-t-il affirmé.

Cet événement confirme que le véritable art ne connaît pas de frontières, et que la diaspora albanaise en Suisse cultive son héritage non seulement comme un souvenir, mais comme une force vivante qui unit, inspire et redonne un sens nouveau à l’identité collective, rapporte albinfo.ch.

La cheffe du consulat du Kosovo visite l’ensemble folklorique “Gëzuar” à Genève

La cheffe du consulat de la République du Kosovo à Genève a effectué une visite spéciale auprès de l’ensemble de chants et danses “Gëzuar”, exprimant sa profonde reconnaissance pour le travail inlassable réalisé en faveur de la préservation et de la promotion de la culture albanaise dans la diaspora, écrit albinfo.ch.

Lors de cette visite, elle a pu constater de près l’engagement des jeunes générations qui, à travers le chant et la danse, maintiennent vivante notre riche tradition culturelle. « Quel plaisir de voir les jeunes danser avec passion et amour les belles danses albanaises, un témoignage vivant que notre héritage continue à vivre et à se transmettre avec fierté », a déclaré Floreta Kabashi-Ademaj.

Elle a adressé une reconnaissance particulière au responsable de l’ensemble, M. Fadil Avdija, ainsi qu’à toute la direction, aux parents et à la communauté qui soutiennent cette initiative culturelle avec un grand dévouement.

« Merci de transmettre avec autant de soin cet héritage précieux aux nouvelles générations », a conclu la consule dans son discours.

Depuis des années, l’ensemble “Gëzuar” de Genève est un véritable point de repère pour la communauté albanaise en Suisse, jouant un rôle essentiel dans la préservation de l’identité nationale à travers l’art et la culture, rapporte  albinfo.ch.

Valais, champion de la raclette : record mondial avec près de 5 000 participants

Les habitants du Valais ont prouvé qu’en matière de raclette, ils n’acceptent pas de rester en arrière. Lors d’un dîner spectaculaire organisé à Martigny, le canton suisse a battu le record mondial du plus grand nombre de personnes dégustant une raclette en un seul repas – pas moins de 4 893 convives, rapporte albinfo.ch.

L’événement a été orchestré par le célèbre maître de la raclette, Eddy Baillifard, qui s’est dit enthousiasmé par ce succès: « C’est un succès phénoménal – quel enthousiasme de la part du public et des gratteurs de fromage! »

Cette initiative a été lancée en réponse au record établi l’année dernière par les Français à Saint-Étienne, où la raclette avait été servie à environ 2 200 personnes, puis à 2 500 deux semaines plus tôt. Pour les Valaisans, cela était inacceptable. « Nous ne pouvions pas laisser aux Français le record mondial de la plus grande raclette », a déclaré Samuel Bonvin, directeur du centre d’exposition MyExpo, où s’est tenue la fête. « La raclette est un patrimoine culturel du Valais, et le fromage raclette valaisan est unique. »

Le fromage a été servi dans sa forme traditionnelle – non pas dans des poêlons de table comme dans de nombreux restaurants modernes, mais à partir de demi-meules fondues au feu ou à l’aide d’un appareil spécial, puis raclées directement dans les assiettes. C’est d’ailleurs de ce geste que provient le nom « raclette », dérivé du verbe français racler, qui signifie « gratter ». Le fromage a été accompagné de pommes de terre, selon la tradition, écrit 20minuten.

Pour accomplir cet exploit, 361 opérateurs de raclette étaient mobilisés, préparant et servant chaque portion avec précision à près de 5 000 participants.

Avec cet événement, le Valais n’a pas seulement battu un record : il a fièrement ramené la couronne de la raclette là où, selon ses habitants, elle appartient légitimement – dans son berceau historique.

Le nombre élevé d’écoles albanaises et d’élèves en Allemagne

Actuellement, des centaines d’écoles albanaises fonctionnent dans de nombreuses villes d’Allemagne, accueillant des milliers d’élèves d’origine albanaise, selon le Conseil des Enseignants Albanais (KASH), rapporte albinfo.ch
L’intérêt pour l’apprentissage de la langue albanaise est en constante augmentation, notamment dans les régions où vit une forte communauté albanaise, témoignant du besoin permanent de préserver la langue et la culture nationales.
Les données les plus précises sur ce processus proviennent du ministère de l’Éducation du Land de Rhénanie-du-Nord–Westphalie (NRW).
Le rôle des enseignants et des parents dans le fonctionnement des écoles albanaises
Les enseignants et les parents jouent un rôle essentiel dans la création et le bon fonctionnement des écoles albanaises. En plus de leur engagement dans l’enseignement, ils ont agi comme médiateurs auprès des autorités allemandes et des institutions albanaises afin de garantir un soutien logistique et financier.
Durant la période de libération du Kosovo, le KASH a joué un rôle crucial en maintenant les liens avec le ministère de l’Éducation du Kosovo, assurant ainsi la continuité de l’enseignement en langue albanaise pour les enfants de la diaspora en Allemagne.
Documenter l’histoire des écoles albanaises
Le KASH a soigneusement archivé l’histoire des écoles albanaises en Allemagne, collectant et conservant des documents, des rapports et des projets élaborés au fil des années. Ces matériaux ont été publiés dans des ouvrages et des études qui reflètent les efforts de la communauté albanaise pour préserver sa langue et son identité culturelle en diaspora.